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[Portrait] «Depuis 12 ans, j’accompagne des patients dont la vie dépend d’une machine. Quatre heures, trois fois par semaine, pendant des années parfois… Avec le temps, on tisse des liens forts, faits de confiance, de partages, d’émotions. Certains deviennent presque une seconde famille. Je me souviens d’une patiente âgée qui, avant d’arrêter la dialyse, a tenu à dire au revoir à chacune de nous. J`ai été très émue, j’ai pleuré. C’était dur… mais elle avait le droit de partir sereinement. Et puis, il y a les moments de joie : ce coup de fil qui annonce une greffe, le retour d’un ancien patient en pleine forme, un gâteau à la main. Dans ce métier, il faut être rigoureux, aimer l’aspect technique. Chaque geste doit être précis, chaque paramètre surveillé. Il faut savoir réagir vite, car toute situation stable peut devenir une urgence. Mais il faut surtout aimer le lien humain.»
Jennifer Diffort, infirmière spécialisée en hémodialyse
Centre Hospitalier du Valais Romand (CHVR), Sion
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[Porträt] «Seit 12 Jahren begleite ich Patientinnen und Patienten, deren Leben von einer Maschine abhängt. Vier Stunden, dreimal pro Woche, manchmal während Jahren ... Mit der Zeit knüpft man starke und vertrauensvolle Beziehungen, man tauscht sich aus und teilt seine Emotionen. Manchmal ist es wie eine zweite Familie.
Ich erinnere mich an eine ältere Patientin, die sich von uns allen einzeln verabschiedete, bevor die Dialyse eingestellt wurde. Das bewegte mich sehr und ich weinte. Es war schwierig ... aber sie hatte das Recht, in Ruhe zu sterben.
Und dann gibt es freudige Momente: ein Anruf, der über eine Transplantation informiert, die Rückkehr eines Patienten in voller Form und mit einem Kuchen in der Hand. In diesem Beruf muss man äusserst präzis arbeiten und den technischen Aspekt lieben. Jeder Handgriff muss sitzen, jeder Parameter muss überwacht werden. Man muss schnell reagieren können, denn jede stabile Situation kann zu einem Notfall werden. Aber vor allem muss man die Menschen lieben. »
Jennifer Diffort, Pflegefachfrau, spezialisiert auf Hämodialyse
Spitalzentrum des französischsprachigen Wallis (CHVR), Sitten
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#Portrait #Infirmière #Hôpital #Sion #Hémodialyse

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[Portrait] «Depuis 12 ans, j’accompagne des patients dont la vie dépend d’une machine. Quatre heures, trois fois par semaine, pendant des années parfois… Avec le temps, on tisse des liens forts, faits de confiance, de partages, d’émotions. Certains deviennent presque une seconde famille. Je me souviens d’une patiente âgée qui, avant d’arrêter la dialyse, a tenu à dire au revoir à chacune de nous. J'ai été très émue, j’ai pleuré. C’était dur… mais elle avait le droit de partir sereinement. Et puis, il y a les moments de joie : ce coup de fil qui annonce une greffe, le retour d’un ancien patient en pleine forme, un gâteau à la main. Dans ce métier, il faut être rigoureux, aimer l’aspect technique. Chaque geste doit être précis, chaque paramètre surveillé. Il faut savoir réagir vite, car toute situation stable peut devenir une urgence. Mais il faut surtout aimer le lien humain.»
Jennifer Diffort, infirmière spécialisée en hémodialyse
Centre Hospitalier du Valais Romand (CHVR), Sion
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[Porträt] «Seit 12 Jahren begleite ich Patientinnen und Patienten, deren Leben von einer Maschine abhängt. Vier Stunden, dreimal pro Woche, manchmal während Jahren ... Mit der Zeit knüpft man starke und vertrauensvolle Beziehungen, man tauscht sich aus und teilt seine Emotionen. Manchmal ist es wie eine zweite Familie.
Ich erinnere mich an eine ältere Patientin, die sich von uns allen einzeln verabschiedete, bevor die Dialyse eingestellt wurde. Das bewegte mich sehr und ich weinte. Es war schwierig ... aber sie hatte das Recht, in Ruhe zu sterben.
Und dann gibt es freudige Momente: ein Anruf, der über eine Transplantation informiert, die Rückkehr eines Patienten in voller Form und mit einem Kuchen in der Hand. In diesem Beruf muss man äusserst präzis arbeiten und den technischen Aspekt lieben. Jeder Handgriff muss sitzen, jeder Parameter muss überwacht werden. Man muss schnell reagieren können, denn jede stabile Situation kann zu einem Notfall werden. Aber vor allem muss man die Menschen lieben. »
Jennifer Diffort, Pflegefachfrau, spezialisiert auf Hämodialyse
Spitalzentrum des französischsprachigen Wallis (CHVR), Sitten
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#Portrait #Infirmière #Hôpital #Sion #Hémodialyse

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[Portrait]
« Ce que j’aime le plus dans mon métier, c’est le contact avec les patients. Aux admissions, on est souvent la première personne qu’ils rencontrent en arrivant à l’hôpital, alors l’accueil qu’on leur réserve peut vraiment faire la différence. C’est très touchant quand le patient me dit, avec un sourire : “Je n’ai pas l’impression d’être à l’hôpital.” Ces petits moments de reconnaissance, ça donne tout son sens à ce qu’on fait.
J’ai débuté mon activité à l’Hôpital du Valais pendant le Covid, en contrôlant les visites des patients. Ensuite, j’ai eu l’opportunité de faire un stage aux admissions… et je n’ai plus quitté ce service ! Ce que j’apprécie, c’est que chaque journée est différente. J’apprends énormément et je garde toujours le contact humain — c’est ça qui me porte au quotidien. »
Nazaré Coelho Guerreiro, collaboratrice aux admissions, CHVR
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[Porträt]
«Am meisten schätze ich in meinem Beruf den Kontakt mit den Patienten. Beim Empfang ist man oft die erste Person, mit der sie in Kontakt kommen. Diese Begegnung ist deshalb wichtig. Es ist sehr berührend, wenn mir der Patient mit einem Lächeln sagt: “Ich habe nicht das Gefühl, im Spital zu sein.” Diese kurzen Momente der Anerkennung verleihen unserer Arbeit einen tiefen Sinn. Ich begann meine Tätigkeit im Spital Wallis während der Covid-Zeit, als ich Patientenbesuche kontrollierte. Anschliessend hatte ich Gelegenheit, beim Empfang ein Praktikum zu machen ... und ich habe diese Abteilung nicht mehr verlassen! Jeder Tag ist anders und das schätze ich sehr. Ich lerne viel und stehe immer mit Menschen in Kontakt. Das trägt mich in meinem Alltag.»
Nazaré Coelho Guerreiro, Mitarbeiterin beim Empfang, CHVR

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[Portrait]
« Ce que j’aime le plus dans mon métier, c’est le contact avec les patients. Aux admissions, on est souvent la première personne qu’ils rencontrent en arrivant à l’hôpital, alors l’accueil qu’on leur réserve peut vraiment faire la différence. C’est très touchant quand le patient me dit, avec un sourire : “Je n’ai pas l’impression d’être à l’hôpital.” Ces petits moments de reconnaissance, ça donne tout son sens à ce qu’on fait.
J’ai débuté mon activité à l’Hôpital du Valais pendant le Covid, en contrôlant les visites des patients. Ensuite, j’ai eu l’opportunité de faire un stage aux admissions… et je n’ai plus quitté ce service ! Ce que j’apprécie, c’est que chaque journée est différente. J’apprends énormément et je garde toujours le contact humain — c’est ça qui me porte au quotidien. »
Nazaré Coelho Guerreiro, collaboratrice aux admissions, CHVR
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[Porträt]
«Am meisten schätze ich in meinem Beruf den Kontakt mit den Patienten. Beim Empfang ist man oft die erste Person, mit der sie in Kontakt kommen. Diese Begegnung ist deshalb wichtig. Es ist sehr berührend, wenn mir der Patient mit einem Lächeln sagt: “Ich habe nicht das Gefühl, im Spital zu sein.” Diese kurzen Momente der Anerkennung verleihen unserer Arbeit einen tiefen Sinn. Ich begann meine Tätigkeit im Spital Wallis während der Covid-Zeit, als ich Patientenbesuche kontrollierte. Anschliessend hatte ich Gelegenheit, beim Empfang ein Praktikum zu machen ... und ich habe diese Abteilung nicht mehr verlassen! Jeder Tag ist anders und das schätze ich sehr. Ich lerne viel und stehe immer mit Menschen in Kontakt. Das trägt mich in meinem Alltag.»
Nazaré Coelho Guerreiro, Mitarbeiterin beim Empfang, CHVR

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[Cuisine régionale]
La restauration du Centre hospitalier du Haut-Valais (SZO), avec ses deux sites de Brigue et de Viège, s`est vu décerner une nouvelle fois le label « Cuisine régionale » par le Service de l`agriculture (SAgri) du canton du Valais. Ce label récompense l`engagement en faveur du développement durable, d`une alimentation équilibrée et de l`utilisation consciente de produits régionaux.
Dans le cadre du label, des établissements comme le SZO s`engagent à privilégier l`achat de produits régionaux, à promouvoir une alimentation équilibrée et à utiliser les ressources naturelles avec parcimonie.
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[Regionales Kochen]
Die Gastronomie des Spitalzentrums Oberwallis (SZO) mit ihren beiden Standorten in Brig und Visp wurde erneut mit dem Label «Regionales Kochen» der Dienststelle für Landwirtschaft (DLW) des Kantons Wallis ausgezeichnet. Das Label würdigt das Engagement für Nachhaltigkeit, eine ausgewogene Ernährung und den bewussten Einsatz regionaler Produkte.
Einrichtungen wie das SZO verpflichten sich im Rahmen des Labels zur bevorzugten Beschaffung regionaler Produkte, zur Förderung ausgewogener Ernährung und zum schonenden Umgang mit natürlichen Ressourcen.
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#gastronomie #regionale #oberwallis

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[Cuisine régionale]
La restauration du Centre hospitalier du Haut-Valais (SZO), avec ses deux sites de Brigue et de Viège, s'est vu décerner une nouvelle fois le label « Cuisine régionale » par le Service de l'agriculture (SAgri) du canton du Valais. Ce label récompense l'engagement en faveur du développement durable, d'une alimentation équilibrée et de l'utilisation consciente de produits régionaux.
Dans le cadre du label, des établissements comme le SZO s'engagent à privilégier l'achat de produits régionaux, à promouvoir une alimentation équilibrée et à utiliser les ressources naturelles avec parcimonie.
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[Regionales Kochen]
Die Gastronomie des Spitalzentrums Oberwallis (SZO) mit ihren beiden Standorten in Brig und Visp wurde erneut mit dem Label «Regionales Kochen» der Dienststelle für Landwirtschaft (DLW) des Kantons Wallis ausgezeichnet. Das Label würdigt das Engagement für Nachhaltigkeit, eine ausgewogene Ernährung und den bewussten Einsatz regionaler Produkte.
Einrichtungen wie das SZO verpflichten sich im Rahmen des Labels zur bevorzugten Beschaffung regionaler Produkte, zur Förderung ausgewogener Ernährung und zum schonenden Umgang mit natürlichen Ressourcen.
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#gastronomie #regionale #oberwallis

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[Symposium commémoratif dédié à la dialyse]
Jeudi dernier, à l’occasion du Jubilé des 10 ans du Service de néphrologie du CHVR, le Prof. Daniel Teta a accueilli deux invités d’exception : M. Othmar Winter, ancien arbitre de football bien connu dans la région, et M. Laurence Rosenthal, compositeur américain de musiques de films.
Le Prof. Teta a souligné l’importance de ces échanges : « On apprend dans les livres… Mais on apprend surtout en écoutant les patients. Et à moi, ils m’ont apporté énormément. »
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#nephrologie #football #musique

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[Symposium commémoratif dédié à la dialyse]
Jeudi dernier, à l’occasion du Jubilé des 10 ans du Service de néphrologie du CHVR, le Prof. Daniel Teta a accueilli deux invités d’exception : M. Othmar Winter, ancien arbitre de football bien connu dans la région, et M. Laurence Rosenthal, compositeur américain de musiques de films.
Le Prof. Teta a souligné l’importance de ces échanges : « On apprend dans les livres… Mais on apprend surtout en écoutant les patients. Et à moi, ils m’ont apporté énormément. »
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#nephrologie #football #musique

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